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De la Guadeloupe à la République Dominicaine PDF Imprimer Envoyer
Écrit par thierry   
Samedi, 24 Mars 2012 00:00

La météo s’est améliorée. Nous quittons la Guadeloupe pour gagner l’ile de Montserrat et son volcan encore en activité. Nous survolons de petites coulées de lave qui fument en glissant sur son flanc. C’est impressionnant ! Nous piquons ensuite sur Antigua et poursuivons sur Barbuda, un ile totalement plate, très peu peuplée et entourée de lagons immenses aux eaux turquoises et parfois vert émeraude. Absolument superbe. Nous poursuivons notre zig-zag par Nevis puis St Kitts, autre petit pays indépendant avec ses gros volcans. Deux nouveaux sauts sur la mer et nous voila à St Eustatius et Saba, deux minuscules îles hollandaises composées chacune d’un énorme volcan.

Saba

 

Saba est véritablement impressionnante car cette masse volcanique ne dispose quasiment d’aucun terrain plat mis à part sa minuscule piste d’atterrissage en porte avion. Nous gagnons ensuite les îles françaises de Saint Barthélemy puis Saint Martin, où nous atterrissons finalement à Grand Case après 5 h 12 de vol inoubliable. Jacques responsable local de la DGAC et Valentina son épouse nous accueillent et nous amènent manger dans la rue animée de la petite ville. Le lendemain, nous effectuons un vol local sur St Barth et nous préparons pour le grand vol jusqu’à Saint Domingue.

 

 

BarbudaMidi,décollage sous un ciel assez chargé de cumulus bien formés et assez noirs déversant des averses sur la mer. Nous zigzaguons et obliquons notre route vers le sud pour passer au dessus de Sainte Croix car au nord une barrière noire de nuages d’orage barre totalement l’horizon ; Nous poursuivons ainsi au dessus de la mer à environ 50 km au sud de Porto Rico, passons au dessus de la ravissante île de Mona ensoleillée et piquons enfin sur la République Dominicaine à nouveau dans la grisaille dommage. Après un premier atterrissage sur le principal aéroport international, nous re-décollons pour Higuero le deuxième aéroport plus approprié où nous garons notre ulm avec ses frères (P 92 et autres) d’un aéroclub après 6 heures de vol dont 5 au dessus de la mer. Victor et ses amis contrôleurs aériens et pilotes nous amènent chez Mauro directeur de l’école de pilotage puis nous dépose à un hôtel à Boca Chica près de la mer.

Mise à jour le Mardi, 03 Avril 2012 11:23